Mes histoires La Running Machine

Mot d'ordre de ces instants footing, Dude : la gagne ! Que ce soit sur The Final Countdown ou l'hymne de Rocky Balboa, le winner, c'est toi ! Pendant au moins 45 minutes, c'est déjà pas mal… Après tout, « rien ne sert de courir, il faut partir à point ! » (cc) Oliebollen.
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Mes histoires La Running Machine : T’écoutes quoi pour aller jogger, Dude ?

Pour avoir observé nombre de joggeurs durant mes quelques rares moments d’errance, un détail m’a frappé : il n’y a pas de profil-type. Des regards francs et concentrés sur leur objectif, j’en ai vus. Des corps suintants et des respirations haletantes, également. Et pourtant, comment savoir ce que tous ces coureurs du dimanche ont en commun ? C’est là que la Running Machine entre dans la danse (si je puis me permettre) ! En fonction de ta façon de courir, du moment de la journée auquel tu te livres à cette petite course parfois quotidienne, hebdomadaire, voire (bi-) mensuelle pour certains Dudes quelque peu désinvoltes, la playlist qui se glisse dans tes oreilles est à choisir avec doigté. Scénario #1 : nous sommes dimanche matin. Après une soirée joyeusement festive, tu te réveilles néanmoins avec l’envie d’un tour de chauffe, histoire de boucler la semaine en beauté. Je ne suis pas certaine qu’un Jump Around te motivera plus qu’un Ice Ice Baby. Dans ces moments-là, mieux vaut ne pas forcer la machine, tu ne crois pas ? Scénario #2 : nous sommes mercredi soir, et déjà tu n’as qu’une seule envie, que cette semaine se termine ! En rognes depuis lundi matin 8h45, lorsque tu t’es cogné le gros doigt de pied contre ta table basse en allant te faire un café, tu savais que cette semaine serait une tannée. Alors quand tu chausses tes baskets pour aller faire un footing revigorant mercredi, c’est pour te remettre d’aplomb !

Mot d’ordre de ces instants footing, Dude : la gagne ! Que ce soit sur The Final Countdown ou l’hymne de Rocky Balboa, le winner, c’est toi ! Pendant au moins 45 minutes, c’est déjà pas mal… Après tout, « rien ne sert de courir, il faut partir à point ! » (cc) Oliebollen