Transat 6.50  

› Etienne DAVID › David RAISON Ventilo M2   › Anthoine THORENS

Défi des 4000 mètres  

Edito

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EDITO

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À la veille du départ de la Transat 6,50, les projets soutenus et initiés par TeamWork se portent à merveille. Le Ventilo M2 mené par Antoine Thorens était en tête du championnat annuel, le Safram M2 Speed Tour, à la veille du dernier GrandPrix, qui a eu lieu depuis (résultat final disponible sur notre site Internet : www.teamworkvoileetmontagne.com). David Raison a remporté sa dernière course – la Transgascogne avant la grande traversée, Etienne David a parfait son expérience de la course au large lors d’un aller-retour aux Açores en 40 pieds, et 53 sommets de plus de 4000m sont désormais inscrits à notre carnet de course. Le mini 6,50 n° 747, rebaptisé TeamWork Evolution en début de saison, semble tenir ses promesses. Ce voilier, concentré d’innovation, qui constitue un véritable défi technologique, a démontré son extraordinaire potentiel dans certaines conditions. Le bateau et le skipper se sont qualifiés pour la Transat 6,50, ce qui constituait le premier objectif. Les deux TeamWork, 679 et 747, menés respectivement par Etienne David et David Raison, se préparent donc au grand départ, prévu le 25 septembre à La Rochelle. Leur engagement, leur professionnalisme et leur détermination vont porter les valeurs défen-

dues par TeamWork. Nous sommes heureux et fiers d’associer nos couleurs à ces projets. Plus localement, le jeune équipage du Ventilo M2 a réalisé une superbe performance en occupant la tête du championnat de la classe jusqu’à la dernière course. Antoine Thorens et son équipe ont démontré qu’ils pouvaient se démarquer face à des concurrents acharnés. Et si l’accès à la compétition pour des jeunes talents reste une priorité dans notre esprit, le résultat sportif est bien sûr toujours réjouissant. Côté montagne, 53 sommets ont pu être inscrits à notre palmarès fin août 2011. Quinze employés de TeamWork sont arrivés au sommet du Mönch cet été. D’autres courses plus difficiles, comme les fameuses Aiguilles du Diable, ont également été réalisées par les plus aguerris de nos collaborateurs. Quelques sommets dits accessibles sont encore au programme de l’année prochaine, mais la difficulté augmente au fil des ascensions. Il nous appartient de progresser pour arriver à nos objectifs. En ce début d’automne, la Transat 6,50 représente l’apogée de l’année 2011. Bon vent à Etienne et à David, et rendez-vous au Brésil ! Philippe Rey-Gorrez / Président TeamWork

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TeamWork

Présentation

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TeamWork

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Fondée à Genève en 1999 par Philippe Rey-Gorrez, son actuel président, TeamWork est une société indépendante de services informatiques spécialisée dans la mise en œuvre, la maintenance et le support de solutions SAP. Depuis 2010, TeamWork a renforcé son activité bancaire de par le partenariat avec la société belge Callatay & Wouters et la promotion en Suisse de son package bancaire « Thaler ». En parallèle, Teamwork réalise le développement d’une solution PMS à destination des gérants de fortune. Le groupe Teamwork, qui figure parmi les partenaires leader sur SAP en Suisse, compte à ce jour plus de 200 collaborateurs. Il est présent à Genève (HQ), Berne, Zürich, Lyon, Ho Chi Minh, Singapour et Chicago. Particulièrement attaché à la satisfaction de ses collaborateurs, le projet Voile & Montagne de Teamwork a pour objectif de favoriser les rencontres entre les employés de l’entreprise et de cultiver leur capacité à relever de nouveaux défis.

Si le sponsoring du catamaran M2 comporte une forte composante locale, le projet de Transat 6,50 relève quant à lui de l’aventure et du goût du challenge d’exception. L’innovation et le défi technologique font également partie de la démarche avec le nouveau voilier TeamWork Evolution. L’ascension des 82 sommets de plus de 4000m des Alpes vient au final jouer le rôle de catalyseur de l’équipe, fondamental au fonctionnement de toute entreprise performante. Pour Philippe Rey-Gorrez, le Président de TeamWork, « le projet Voile & Montagne est une manière de démontrer que la performance peut se réaliser dans un contexte de plaisir, dans la mesure où elle intègre toujours la maîtrise du risque. »

TeamWork en quelques chiffres  TeamWork compte plus de 200 employés (automne 2011) répartis à Genève (90), Lyon (30), Berne (20), au Vietnam (10) et dans le reste du monde.  Les valeurs de TeamWork sont : le sens du service, le partage des connaissances, le goût du challenge et le respect des individus.  TeamWork fait parties des dix ‘SAP Service Partner’ de Suisse Romande.

 Les domaines de compétences de TeamWork sont : Logistique et finance, Administration, Outsourcing, Développement, Ressources humaines, Businnes intelligence, Process integration, All-in-One, Security & Risk Compliance, Banking solutions.  Quelques références : Caran d’Ache, Bobst, Metalor, Aligro, Novartis, Givaudan, Rolex, Swatch, Pictet & Cie, Barclays, BCV, SIG, Skyguide, TSR, Philip Morris...

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Les Projets

Voile et Montagne

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Le succès de TeamWork provient notamment de la capacité de ses collaborateurs à travailler en équipe. L’implication de la société dans des projets qui ne sont pas directement liés à son activité première constitue dans ce contexte un facteur de motivation important pour chacun. Pour cette raison, TeamWork a toujours cherché à être présent d’une manière ou d’une autre dans des activités qui véhiculent ses valeurs. Ainsi, Teamwork sponsorise des projets véliques depuis 2005 et pratique la montagne avec ses collaborateurs depuis sa création en 1999. Désireux de poursuivre ce qui a été mis en place au fil des dernières années, TeamWork a acquis à la fin de 2009 le bateau 679 de la classe Mini en vue de disputer la Transat 6,50 2011 avec le skipper Genevois Etienne David. Le voilier à participé à cinq régates de la saison 2010, et termine 11ème du classement annuel, sur 112 classés. Fin 2010, TeamWork s’est intéressée au prototype innovant de David Raison, le Mini n°747, et a décidé de soutenir le projet qui représente un défi technologique majeur. David Raison, ingénieur naval spécialisé en hydrodynamique et navigateur expérimenté, a donc rejoint début 2011 l’équipe en place au côté d’Etienne David, ancien administrateur du Centre d’Entraînement à la Régate de Genève et ancien équipier de Pierre Fehlmann lors de la course autour du monde « Whitbread ». Les deux skippers se fixent des objectifs ambitieux pour la Transat 6,50, qui part le 25 septembre de La Rochelle. Le podium est en effet à la portée des deux régatiers. Plus localement, TeamWork poursuit son sponsoring débuté en 2007 sur le catamaran Ventilo M2. Antoine Thorens, jeune

navigateur prometteur qui a déjà participé à la saison 2009 et 2010, reste en charge du voilier TeamWork pour 2011. Antoine et son équipage sont arrivés 10ème lors du Safram M2 Speed Tour 2010. En menant le championnat à l’aube de la dernière régate de la saison, cette année, l’équipage a démontré son extraordinaire capacité de progression. Côté montagne, le programme qui consiste à gravir les 82 sommets Alpins de plus de 4000 mètres a été lancé au printemps 2010. Une bonne douzaine de sommets figuraient déjà au palmarès des collaborateurs de TeamWork avant le lancement officiel du projet. Vingt-cinq ont été gravis en 2010 et TeamWork a donc démarré la saison 2011 avec 37 montagnes de plus de 4000m inscrites à son palmarès. Le guide de haute montagne Christophe Bressand est chargé de la coordination du projet. Ouvert à tous les employés de TeamWork, en fonction de leurs envies et de leur niveau, ce défi constitue une première en tant que projet d’entreprise. Le challenge des 4000 mètres alpins devrait se conclure dans un laps de temps compris entre 4 et 5 ans, soit vers 2014. Le but de TeamWork est avant tout de démontrer que la montagne peut être ouverte à tous, pour autant qu’elle soit abordée avec respect et qu’il soit fait appel aux bonnes compétences, en l’occurrence des guides de haute montagne. Si chacune de ces entreprises est ambitieuse, Philippe ReyGorrez ne se positionne pas pour autant dans une logique de l’exploit. Le PDG de TeamWork met un point d’honneur à ce que l’esprit de chacun des projets soit avant tout socio-sportif, et à ce que l’humilité reste le maître mot.

 Projets montagne déjà réalisés

 Projets voile déjà réalisés

Les sommets suivants ont déjà été gravis par TeamWork à la fin août 2011 : Aiguille de Rochefort, Aiguille Verte, Corne du Diable, Dent du Géant, Dôme du Goûter, L’Isolée, Les Droites, Mont Blanc, Mont Blanc du Tacul, Pointe Carmen, Pointe Chaubert, Pointe Médiane, Allalinhorn, Alphubel, Breithorn Central, Breithorn Est, Breithorn Est Jumeau, Breithorn Ouest, Castor, Cervin, Corno Nero, Dent Blanche, Dent d’Hérens, Dom, Durrenhorn, Hohberghorn, Lagginhorn, Lenzspitze, Ludwigshöhe, Lyskamm Est, Syskamm Ouest, Nadelhorn, Parrotspitze, Pollux, Punta Giordani, Pyramide Vincent, Rimpfischhorn, Roccia Nera, Punta Gnifetti, Stecknadelhorn, Stralhorn, Weissmies, Zinalrothorn, Zumsteinspitze, Aletschhorn, Gross Fiescherhorn, Hinter FIescherhorn, Mönch, Barre des Ecrins, Dôme de Neige des Ecrins, Gran Paradiso, Piz Bernina.

TeamWork s’est engagé pour la première fois dans la Transat 6,50 en 2005 en soutenant le navigateur espagnol Alex Pella. Ce dernier a remporté la seconde étape (Canaries-Brésil) et s’est hissé à la deuxième place du classement général. En 2007, Hervé Favre, skipper genevois du nouveau bateau TeamWork, est arrivé au bout de la course (20ème) malgré les nombreux ennuis mécaniques auxquels il a dû faire face. Le catamaran Ventilo M2 TeamWork a quant à lui terminé la saison 2008 en 10ème position sur 26 équipages. En 2009, le même bateau se classe 7ème du championnat ; il remporte le Bol d’Or du lac de Neuchâtel et réalise une très belle seconde place lors du Bol d’Or Mirabaud. Et en 2010, TeamWork termine le Grand-Prix de Genève en 4ème position et la saison en 9ème position.

 La montagne et ses valeurs

 La voile et ses valeurs

L’alpinisme et la pratique de la montagne sont perçus, à juste titre, comme des activités exaltant des valeurs humaines nobles telles que l’engagement, l’esprit de décision, le dépassement de soi et le courage. En haute montagne, le sommet n’est pas un but ultime  : la manière de l‘atteindre est souvent plus importante. La performance ne peut être réalisée que dans un profond respect de la nature et des éléments.

La voile, qu’elle soit pratiquée sur le lac, en mer, en solitaire où en équipage, représente toujours un sport sain, convivial, en contact avec les éléments, adapté à tous les âges et tous les gabarits. Le respect de l’environnement caractérise ce sport. Pour gagner une régate, la connaissance du milieu et la capacité à l’appréhender comptent plus que la force et l’endurance physique pure.

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Projet voile

teamwork 679

Etienne David

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Etienne David est l’un de marins romands les plus talentueux de sa génération. Après avoir découvert la navigation à bord du voilier familial de ses parents, il s’initie rapidement à la régate en Optimist. L’apothéose de sa carrière de junior est une sixième place au Championnat du monde de I’IYRU, où il représente la Suisse en Laser. Il tâtonne ensuite quelques séries olympiques (470, Tornado) avant de rejoindre Pierre Fehlmann pour participer à la Whitbread (course autour du monde en équipage) 93-94. À son retour, il prend le rôle de préparateur du trimaran jaune d’Ernesto Bertarelli, Alinghi. Etienne David fait partie de la génération de régatiers qui privilégient la rigueur et la méthode à l’intuition. Inconditionnel de la monotypie, il saisit en 1997 l’opportunité de reprendre la direction du CER (Centre d’Entraînement à la Régate), un poste qu’il occupera pendant cinq ans. Il mène pendant cette période le voilier de la Ville de Genève - Carrefour Prévention à une brillante 3ème place au Tour de France à la Voile en 2002.

TeamWork 679

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Le Mini 6,50 TeamWork d’Etienne David porte le numéro 679 ; il a été construit en 2007 et a déjà participé à une vingtaine de régates officielles de la Classe Mini, parmi lesquelles la Transat 6,50 2009, ou il s’est classé à une excellente 4ème place. Dessiné par l’architecte Sam Manuard, le TeamWork 679 est l’un des meilleurs bateaux de la flotte des Minis. Il sera à nouveau un sérieux concurrents pour la transat 2011. Les résultats obtenus lors de la première partie de la saison l’ont démontré. « C’est un excellent bateau de près et de reaching », confie son skipper. « J’ai encore des progrès à faire au portant, notamment dans la brise et le médium. Mais les atouts principaux de ce voilier sont sa polyvalence et sa fiabilité. » L’an passé, Etienne David a remporté le Grand- Prix d’Italie à bord de ce voilier ; Il s’est classé 4ème de l’Open demi-clé cette année. Le bateau a bénéficié d’une préparation minutieuse et a largement été remis à niveau par son skipper.

 Les atouts du TeamWork 679  • • • •

Un bateau polyvalent, qui a fait ses preuves. Excellentes performances au près et au reaching. Très bon potentiel dans le petit temps et le médium. Un skipper qui connait sa machine sur le bout des doigts. • Une construction soignée. Longueur coque : Largeur : Tirant d’eau : Surface voilure près : Surface voilure portant : Déplacement de jauge :

6,50 m 2,99 m 2,00 m 48 m2 125 m2 750 kg

Skipper du Décision 35 Zebra 5 il remporte le Bol d’Or 2004. Il fait ensuite ses premières expériences en Mini 6,50. Séduit par le bateau, il décide quelques années plus tard de monter un projet pour la Transat 6,50 2011 avec Philippe Rey-Gorrez, qu’il a rencontré dans le cadre du championnat de Ventilo M2.

 Résultats 2011 TeamWork 679 23 - 24 Avril 30 Avril - 2 Mai 9 - 11 Juin 19 - 23 Juin

L’Open Demi Clé Pornichet Select Trophée Marie-Agnès Péron Mini Fastnet

Classement saison au 05/08/2011

4ème 8ème 7ème 9ème 9ème

 Etienne DAVID Régatier professionnel. Ingénieur en mécanique EIG. Né à Genève le 1er avril 1968.  Palmarès Laser Membres de l’équipe Suisse Junior 1986 6ème Championnats du Monde IYRU 86 Maxi 2ème Withbread 93-94 sur Merit Cup (Bar. et N°1) Mini 1er Triangle du soleil 2006 - Pogo 2 4ème Grand Prix d’ Italie 2009 3ème Mini Pavois 2010 4ème Mini Barcelona 2010 9ème Mini Fastnet 2010 7ème Mini Empuries 2010 Multi 1er TC* du Bol d’Or 97 - Alinghi (N°1) 1er TC* du Bol d’Or 2004 - D35 Team Red (Barreur) 1er Trophée Ferrier-Lullin 2004 - D35 Team Red (Barreur) 2ème Bol d’Or léman 2009 - M2 (Barreur) 1er Bol d’Or du lac de Neuchâtel 2009 Surprise Champion Suisse 1996 (Embraque) et 2000 (Barreur) Champion d’Europe 2000 (Tactique) Champion de Méditerranée 2001 (Barreur) Mumm 30 1er Amateur Tour de France à la Voile 1999 (Tactique) 3ème Professionnel du Tour de France à la Voile 2002 (Tactique-Barre) Autres Skipper Suisse de l’année 1999 (CCS) Skipper Proway de l’année 1999 (UNCL) Régatier Suisse de l’année 2000 (FSV)

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Projet voile

Teamwork 747

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David Raison

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David Raison est un marin de 38 ans qui a déjà plus de 16 ans de régate ainsi que 12 ans de course en solitaire à son actif. Diplômé de l’Ecole Centrale de Nantes, Ingénieur Mécanicien spécialiste en «hydrodynamique et ingénierie navale», David a travaillé comme expert au sein d’une société de classification à Paris entre 1997 et 1999. Depuis, il exerce son activité d’ingénieur consultant en free-lance tout en courant sur le circuit des Mini 6.50.

TeamWork Evolution

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Le voilier de David Raison, baptisé TeamWork Evolution au printemps 2011, constitue une réelle innovation dans le monde des Mini 6,50. Cette Classe, qui est souvent surnommée « l’antichambre de la course au large », a déjà permis de tester de nombreuses nouveautés que l’on a retrouvé plus tard sur le Vendée Globe : ballasts, quilles basculantes, mâts pendulaires... Avec son étrave bombée, TeamWork Evolutoin apporte incontestablement un vent de fraîcheur dans ce milieu. Son designer, constructeur et skipper David Raison, ingénieur hydrodynamicien de formation, a testé numériquement une dizaine de carènes entre 2005 et 2008 avant d’arriver au résultat actuel. Son objectif était de s’inspirer des meilleurs dessins du moment tout en évitant les tabous architecturaux. Il a remis à plat les concepts architecturaux des bateaux de course au large en se basant sur les technologies d’études et de construction les plus modernes. Ses études lui ont permis d’aboutir sur un voilier particulier mais néanmoins cohérent. Très puissant et rapide, le TeamWork Evolution a impressionné les observateurs lors de sa première saison de course l’an passé. Les résultats sportifs obtenus ont permis de valider le concept tout au long de la saison 2011.

 Les atouts du TeamWork Evolution • Une « gueule » unique inspirée des Scows américains qui ne manque pas d’attirer les regards et les objectifs. • Une ergonomie optimisée pour un skipper plus performant. • Une puissance accrue de 20% par rapport aux Minis actuels, sans augmentation du poids ni de la traînée. • Une construction tout carbone particulièrement soignée.

Longueur coque : Largeur : Tirant d’eau : Surface voilure près : Surface voilure portant : Déplacement de jauge :

6,50 m 2,99 m 2,00 m 51,0 m2 127,0 m2 700 kg

Il remporte l’Open Demi Clé en 2003, se classe deuxième à la Mini Pavois de 2003, 2ème à la Transat 6.50 2003, deuxième au National Pogo en 2004 et 3ème au Chrono 6.50 en 2010. Il se classe aussi 2ème à bord d’un Figaro II lors de la Solo Concarneau en 2006. Depuis mai 2008, David se prépare en vue de la Transat 6.50 2011 en construisant son nouveau prototype de bateau 6.50 du côté de Nantes. Inspiré par son expérience de navigateur et d’ingénieur, il crée le 747. Un bateau avec une apparence unique inspirée des Scows américains, une ergonomie optimisée, une puissance accrue de 20% par rapport aux Minis actuels et une construction carbone particulièrement soignée. Selon lui, c’est un bateau conçu pour gagner.

 Résultats 2011 TeamWork Evolution 16 - 23 avril 30 Avril - 2 Mai 9 - 11 juin 23 - 31 juillet

Grand Prix d’Italie Pornichet Sélect Trophée Marie-Agnès Péron Transgascogne

Classement saison au 05/08/2011:

2ème 2ème 9ème 1er 3ème

 David Raison Régatier professionnel. Ingénieur naval consultant spécialiste en « hydrodynamique et ingénierie navale ».  Palmarès Transat 9ème Trophée BPE St. Nazaire-Cuba 2005 2ème Transat 6.50 2003 7ème Transat 6.50 2001 Mini Chrono 6.50 3ème en 2010 4ème en 2000 1er en 2000 A participé au Trophée Marie-Agnès Péron 2010   2ème National Pogo 2004 2ème Mini Pavois 2003 Open 1/2 clé  1er en 2003 2ème en 2001 2ème en 1998 Détenteur Trophée Alain Pointet 2003 et 2000 Transgascogne 2001 et 1999 Mini-Fastnet 2010, 2004, 2003 et 2001 Select 6.50 2003 et 2001 Challenge Mini 2004, 2002 et 2000 Course en équipage Spi Ouest France 2008, 2007, 2004, 1995 et 1998 BMW Sailing Cup - Dubaï World Finals 2008

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TC : Toutes Catégories

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Projet voile

TRANSAT 6.50

La Transat 6.50 Charente Maritime - Bahia

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Anciennement connue sous le nom de Mini-Transat, la Transat 6,50 Charente-Maritime/Bahia a été créée en 1977 par le britannique Bob Salmon en réaction à la débauche de moyens financiers et techniques constatée lors de la Transat Anglaise de 1976. Cette nouvelle course se devait d’être à la portée de toutes les bourses. Pour éviter de sombrer à nouveau dans des coûts non maîtrisables, la taille des voiliers ne devait pas dépasser 6,50 mètres. D’année en année, cette régate est devenue une épreuve reine et est restée fidèle aux choix et principes pris lors de sa création. Toujours accessible aux budgets les plus modestes et aux amateurs les plus éclairés, elle est devenue aujourd’hui une étape

incontournable pour les marins qui aspirent à une carrière de course au large en solitaire. Les plus grands noms de la discipline s’y sont déjà alignés, notamment Loïck Peyron, Yves Parlier, Laurent et Yvan Bourgnon, Stève Ravussin, Bernard Stamm, Ellen MacArthur, Isabelle Autissier et bien d’autres. Parallèlement à la transat, événement phare bisannuel du calendrier, la classe Mini organise de nombreuses épreuves en Atlantique et Méditerranée tout au long de la saison. Les voiliers TeamWork 679 et TeamWork Evolution d’Etienne David et de David Raison s’aligneront donc au départ de la Transat 6,50 à La Rochelle le 25 septembre 2011.

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www.classemini.com www.charentemaritime-bahia.transat650.net

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Multicoques - M2

LES Skippers du Ventilo M2

 Antoine THORENS

 Julien MONNIER

 Marc TOURNIER

Né en 1986, Antoine Thorens à commencé la voile à l’âge de 6 ans en Optimist. Il se classe 3ème lors de sa première compétition importante et décide de poursuivre la filière classique de formation en Equipe, puis en 420. Membre du pôle jeune espoir, il décide de faire de la voile son métier et intègre la voilerie Europe Sails à l’âge de 17 ans. Equipier d’Etienne David sur plusieurs Tour de France à la Voile, il navigue sur le M2 TeamWork en 2008 et 2009, avant d’en prendre les commandes en 2010.

Tacticien à bord du M2 TeamWork, Julien Monnier possède une solide expérience vélique sur à peu près tous les voiliers de compétition. Issu du club nautique de Cully, où il fait ses classes suivant la filière conventionnelle - de l’Optimist au 470 en passant par le 420 - il découvre le Surprise au milieu des années 90. Il rafle avec son équipage presque tous les titres nationaux possibles. En 2000, il rejoint le CER et participe à six éditions du Tour de France à la Voile, les deux dernières en tant que navigateur-tacticien. Maître voilier de son métier, il fait partie de l’équipage de TeamWork depuis 2009.

Nouveau venu au sein de l’équipage de TeamWork, Marc Tournier a suivi un parcours vélique atypique. Il commence la voile à 16 ans sur des voiliers lesté comme le Surprise ou le X99 et surtout le Grand Surprise. En 2007, il saisit l’opportunité de mener un Grand Surprise, Il monte un équipage et participe à l’ensemble des régates lémaniques pendant 4 ans. Il remporte pendant cette période la Translémanique en solitaire, et se classe deux années de suite premier au championnat du Petit-Lac. Marc Tournier participe à sa première saison en M2 en 2011.

Ventilo M2

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Avec sa flotte d’une trentaine d’unités, le Ventilo M2 représente la série de catamarans monotypes hightech la plus importante d’Europe. La classe a été conçue pour une clientèle qui recherchait un multicoque de compétition haut de gamme adapté aux conditions lémaniques, mais plus abordable que les Décision 35. Les Ventilo M2 ont depuis séduit de nombreux régatiers romands de tous horizons, à l’image de Philippe Durr, Alex Schneiter ou Michel Vaucher, qui ont choisi ce support pour s’adonner à leur sport favori. Développé par le constructeur Christian Favre avec l’appui de Rodolphe Gautier, le Président actuel de la série, le M2 fait aujourd’hui référence dans le monde de la régate monotype, tant en Suisse qu’à l’étranger.

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 Caractéristiques du Ventilo M2 fin de l’année 2007, ce qui lui permet de bénéficier d’un support plus local que le Mini 6,50. La série est en effet très bien représentée tant sur le lac Léman que sur celui de Neuchâtel. Le jeune régatier Antoine Thorens succède en 2010 à Etienne David en tant que skipper du M2 TeamWork. Le projet affiche des ambitions évidentes de résultats, mais est avant tout basé sur l’ouverture du monde de la compétition aux jeunes talents.

 Résultat des courses 2011

Depuis le premier championnat de la série, qui s’est déroulé en 2006 avec déjà 18 unités, la classe des M2 a parcouru un chemin important. En 2008, un ventilo M2 est même parvenu à se classer deuxième au classement scratch du Bol d’Or Mirabaud, confirmant le potentiel exceptionnel de ce voilier.

13 - 15 Mai 28 - 29 Mai 11 Juin 17 - 19 Juin 1 - 3 Juillet 27 - 28 Août

Bol d’Or du lac de Neuchâtel 1er ème Grand Prix E-Gestion de Grandson 6 Grand Prix de Neuchâtel 1er ème Genève - Rolle - Genève 4 Bol d’Or Mirabaud 11ème Grand Prix de Genolier 6ème Championnat du Léman Grand-Prix TeamWork de Versoix 1er

TeamWork est impliqué dans la série des Ventilo M2 depuis la

Classement championnat au 28/08/2011:

1er

 Nils Palmieri

 Olivier Légeret

Nils Palmieri rejoint l’équipage du M2 TeamWork en tant que remplaçant. Né le 17 février 1987, il se décrit comme un « équipier polyvalent ». Ancien champion Suisse d’Optimist, et vétéran de trois championnats du monde, il a commencé à naviguer à l’âge de 7 ans et aussi régaté en 470, participé au Tour de France à la Voile et effectué de nombreuses régates à bord du Décision 35 Zebra 7. Mais son objectif à moyen terme est la Mini Transat 2013.

Né en 1976, Olivier Légeret découvre la voile à l’âge de 11 ans. Basé à Villeneuve, là où il n’y a jamais de vent (selon lui), il traverse des débuts qu’il qualifie de laborieux. Il participe à ses premières régates en Laser vers 13 ans, avant de rejoindre des équipages de voiliers lestés. Il remporte notamment le championnat national de First Class 8 à la Neuveville, puis s’impose à trois reprises dans les fameux 5 jours du Léman. Olivier rejoint un équipage de multicoques en 2006, et obtient en parallèle de bons résultats dans la catégorie des Surprise. Il occupe la place de régleur de gand-voile sur le M2 TeamWork.

Longueur coques : Longueur hors tout : Largeur : Hauteur du mât : Poids à vide : Surface de voiles : Grand Voile Foc Gennaker Nombre d’équipiers :

8,53m 11,20m 4,80m 14,20m 375 kg 49m2 20m2 72m2 5

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4000 mètres

Projet Montagne

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 Christophe Bressand Basé aux Houches, Christophe Bressand est ingénieur de formation et il a notamment participé au développement des skis paraboliques pendants 10 ans. Passionné par la montagne sous toutes ses formes, il passe du 7C en rocher et possède à son actif quelques beaux couloirs à ski, comme celui du Diable et du Jager au Tacul ou encore la face nord du Tricot. Selon lui, un guide doit servir à aider le client à progresser pas à pas vers des sommets de plus en plus hauts, en toute sécurité.

 Olivier Decrette Âgé de 31 ans et guide depuis 2008, Olivier Decrette vit au village du Tour au fond de la vallée de Chamonix. Amené à pratiquer la montagne par plusieurs membres de sa famille, il décide vers l’âge de 15 ans de poursuivre sa passion jusqu’à en faire son métier. Également moniteur de ski, ses courses préférées sont la face ouest du Scheideggweitthorn, la traversée du Weisshorn et la Verte. Il garde également un souvenir inoubliable d’une expédition au Mont McKinley, en Alaska.

 Xavier Fournier Originaire de Haute-Nendaz, Xavier Fournier vit dans le petit village viticole de Branson, dans la commune de Fully en Valais. Son enfance au milieu des Alpes Valaisanne et son goût prononcé pour les rencontres et l’aventure le conduisent naturellement au métier de guide, qu’il pratique depuis 2001. Xavier considère sa passion de la montagne toujours intacte et n’envisage de changer de profession que s’il trouve un bureau « plus grand et plus beau que les montagnes du monde ».

TeamWork sur les sommets des Alpes

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L’idée de collectionner les sommets dépassant l’altitude symbolique de 4000 mètres est apparue à la fin du XIXème siècle. Compte tenu de la structure complexe de la montagne, une liste est établie, permettant de distinguer les vrais sommets des sommets secondaires, antécimes, épaules, bosses, pointes et gendarmes divers qui dépassent cette limite. Pendant longtemps, une liste d’une soixantaine de sommets définie au début du XXème sicle par Larl Blodig, premier collectionneur de 4000, a servi de référence aux amateurs. L’idée d’enchaîner de façon continue et en un temps limité l’ensemble des 4000 mètres est apparue dans les années 90. En 1994, l’UIAA (Union Internationale des Associations d’Alpinisme) a donc défini une liste de 82 sommets, qui tient à la fois compte des critères topographiques et de l’histoire de l’alpinisme. Si elle est aujourd’hui considérée comme la liste de référence, d’autres listes existent parallèlement avec des critères plus ou

moins stricts. Ces dernières comptabilisent 50 à 89 sommets principaux, ainsi que des sommets secondaires. En tout, près de 200 noms sont répertoriés. TeamWork s’attaque en 2010 à la liste officielle de l’UIAA. Pour ce faire, l’entreprise met à la disposition de ses collaborateurs des guides avec lesquels plusieurs ascensions ont déjà été réalisées. Christophe Bressand coordonne la partie technique du projet. Du matériel est également disponible pour ceux qui souhaitent participer à l’aventure, mais ne pratiquent pas régulièrement la montagne et ne sont donc pas équipés. Les collaborateurs mettent en place leur programme directement avec les responsables des courses, dans le but de réaliser l’objectif d’entreprise de gravir les 82 sommets alpins de plus de 4000 mètres d’ici à 2014.

Objectifs 2011

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L’année 2010 s’est terminée avec 37 sommets inscrits au palmarès des employés de TeamWork. L’objectif 2011 était d’ajouter une vingtaine de nouveaux noms à la liste des 4000 gravis. À la fin août 2011, on en compte 53. Le but devrait donc être pratiquement atteint d’ici la fin de l’année. Comme en 2010, une sortie d’initiation à l’alpinisme a été organisée dans la région de l’Aiguille du midi pour permettre aux nouveaux venus de se familiariser avec le milieu. La saison a été ouverte en avril avec l’Hinterfiescherhorn et le Grossfiescherhorn qui ont été réalisés à ski. En avril, les fameuses ‘Droites’ sont tombées, puis l’Aletschhorn. En juin, 15 membres de TeamWork ont pu accéder au sommet du Mönch, lors d’une magnifique journée. Le Dom, la traversée Nadelgrat, le Piz Bernina et enfin les Aiguilles du Diables sont venus compléter cette saison très riche. Les gros morceaux comme les Grandes Jorasses, qui comptent 6 pointes de plus de 4000 seront probablement réalisés en 2012, si les conditions le permettent.

Témoignages

« C’était très intéressant de participer à un stage sur les techniques d’évolution et de sauvetage sur glacier. En me lançant à la recherche d’un appareil enseveli, j’ai constaté que je n’avais ni ma pelle ni mes gants... On réalise l’importance de ces gestes quand il s’agit de sauver une vie. » Nicolas Adeline « Plusieurs personnes de mon entourage pensaient que je n’y arriverais pas. Ça n’a fait qu’augmenter ma motivation. Je me suis plusieurs fois demandé ce que je faisais là, mais au final, c’était vraiment gratifiant d’y arriver et je vais participer à d’autres courses. » Fabien Normandin « Le bilan montagne est excellent et de nombreux nouveaux sommets ont été gravis par des membres de TeamWork. Nous avons fait tomber tous les sommets faciles, et quelques-uns plus engagés, comme la Verte et le Zinalrothorn. Je ne sais pas si nous arriverons à tenir ce rythme les années à venir, mais à ce stade, c’est un beau score. » Christophe Bressand

Liste des 82 sommets  

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« Le plus beau sommet de la saison passée était la Dent Blanche. C’était difficile, mais vraiment très beau. Ce sommet est varié, il y a de la randonnée glaciaire, du rocher pur, et des passages en mixte. J’aimerais bien faire un ou deux sommets en rocher en 2011. » Nicolas Buchillet

  Massif du Mont-Blanc Mont Blanc * 4807m Mont Blanc de Courmayeur  4748m Mont Maudit 4465m Pico Luigi Amedeo 4460m  Dôme du Goûter * 4304m  Mont Blanc du Tacul * 4248m  Grand Pilier d’Angle 4243m  Pointe Walker - Grandes Jorasses  4208m  Pointe Whymper - Grandes Jorasses 4184m Aiguille Verte * 4122m L’Isolée du Tacul * 4114m    Aiguille Blanche de Peuterey  4112m  Pointe Croz - Grdes Jorasses  4110m  Pointe Carmen du Tacul * 4109m  Grande Rocheuse *  4102m Pointe Médiane du Tacul * 4097m Pointe Chaubert du Tacul * 4074m   Mont Brouillard  4069m    Punta Margherita - Grandes Jorasses  4065m   Corne du Diable du Tacul * 4064m    Aiguille de Bionnassay  4052m    Punta Elena - Grandes Jorasses  4045m    Aiguille du Jardin  4035m  

Dôme de Rochefort  Dent du Géant *  Punta Baretti  Aiguille de Rochefort* Les Droites *

4015m    4013m   4013m     4001m   4000m

  Alpes Valaisannes Pointe Dufour - Mt Rose Nordend - Mt Rose Zumsteinspitze - Mt Rose * Signalkuppe ou Punta Gnifetti * Dom des Mischabel * Liskamm oriental * Weisshorn Liskamm occidental * Täschhorn Cervin ou Matterhorn * Pointe Parrot - Mt Rose * Dent Blanche * Ludwigshöhe - Mt Rose * Nadelhorn * Corno Nero - Mt Rose * Grand Combin de Grafeneire Lenzspitze *

4634m 4609m 4563m 4554m 4545m 4527m 4505m 4497m 4491m 4477m 4432m 4357m 4341m 4327m 4322m 4314m 4294m

Stecknadelhorn * Castor * Zinalrothorn * Hohberghorn * Pyramide Vincent - Mt Rose * Alphubel * Rimpfischhorn * Strahlhorn * Grand Combin de Valsorey Dent d’Hérens * Breithorn occidental * Breithorn central * Bishorn Combin de la Tsessette Breithorn oriental * Breithornzwillinge * Pollux * Roccia Nera - Breithorn * Obergabelhorn Punta Giordani - Mt Rose * Durrenhorn * Allalinhorn * Weissmies * Lagginhorn *

4241m 4228m 4221m 4219m 4215m 4206m 4199m 4190m 4184m 4171m 4164m 4159m 4153m 4141m 4139m 4106m 4092m 4075m 4063m 4046m 4035m 4027m 4023m 4010m

 Oberland Bernois Finsteraarhorn Aletschhorn * Jungfrau * Mönch * Schreckhorn Gross Fiescherhorn * Gross Grunhorn Lauteraarhorn Hinter Fiescherhorn *

4274m 4195m 4158m 4107m 4078m 4049m 4043m 4042m 4025m

 Massif des Ecrins Barre des Écrins * Dôme de Neige des Écrins *

4101m 4015m

 Massif du Grand Paradis Gran Paradiso *

4061m

 Massif de la Bernina Piz Bernina *

4049m

* sommets déjà réalisé au 13/09/2011

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