Québec

N ° 276 février 2015

Tiens bon, petit faon !

Le secret d’Ariol

Super jeux d’hiver

Valentins faits main

Ce mois-ci, dans ton J’aime lire...

LE ROMAN Tiens bon, petit faon ! Page 5 Laura vit au fond des bois en 1915. Sa famille doit chasser pour se nourrir. Un jour, Laura trouve un petit faon en train de se noyer sous la glace…

PAUSE BD Jason a des problèmes Page 30 Le lourd secret d’Ariol Page 48 Toto, le super zéro Page 75 Simone, joli monstre Page 76

À LA DÉCOUVERTE L’incroyable histoire de la médecine Page 38 Qu’est-ce que c’est, la science ? Page 46

À TOI DE JOUER Défi : envoyer un courriel Page 58 Valentins faits main Page 60 Super jeux d’hiver Page 64

Sur le Web

Pour toi : blagues, jeux, histoires et plus sur Pour ton professeur et tes parents : fiches pédagogiques, idées-cadeaux et plus sur bayardjeunesse.ca

Bravo à Rose

On ne dit pas « Un chapitre* », mais « Un chat drôle »…

Bravo à Hugo, 10 ans

Quel est le comble du chien ?

Bravo à Jeanne, 9 ans

Réponse : c’est d’avoir la puce à l’oreille !

* un chat pitre (un pitre, c’est un farceur).

Bravo à Maxime, 10 ans

N ° 276 février 2015

Tiens bon, petit faon ! Découpe le signet le long du trait blanc et couvre-le de ruban adhésif.

Bravo à Jason

Réponse : le sous-marin, il n’a rien à faire dans un aquarium.

Un poisson rouge et un sous-marin entrent en collision. Qui est en tort ?

Laura

Réponse : en prenant le passage pour python !

Bravo à Nina

Bravo à Sidonie

C’est elle qui raconte

Quelle est la plante préférée des fantômes ? Bravo à Zoé

Réponse : le houuuuux !

Les personnages

Comment les serpents traversent-ils les routes ?

Le papa de Laura

Bravo à Maëlia

La biche et son faon

Bravo à Renaud

Le roman

Tiens bon, petit faon ! Un roman de Juliette Mellon, illustré par Frédéric Joos

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chapitre 1

Petit matin gelé Il est tôt. Le jour n’est pas encore levé. Papa me secoue. Il murmure : – Laura, réveille-toi. Je grogne : – Qu’est-ce qu’il y a ? – Je pars à la chasse. Lève-toi et habilletoi chaudement, tu dois aller pêcher au lac. Je me lève aussitôt. Je sais que Papa compte sur moi pour rapporter du poisson. L’hiver est loin de se terminer, et le gardemanger est déjà presque vide. 7

Dans la pièce, le poêle à bois est allumé. Maman part traire les bêtes. Papa me réchauffe une crêpe. Il n’y a plus de sirop d’érable à mettre dessus, mais c’est bon quand même. Dès que j’ai fini, Papa éteint la lampe à l’huile et nous sortons. C’est dur de quitter la chaleur de notre petite maison de bois rond. 8

Dehors, la forêt semble toute engourdie dans le silence gelé. Je marche sur le chemin en tapant des pieds pour me réchauffer. À chaque respiration, je fais de la buée*. On sent bien que le printemps est encore loin ! * De la buée, c’est de la vapeur d’eau condensée par le froid.

9

Quand nous arrivons au bord du lac, Papa s’en va de son côté. Il me rejoindra tout à l’heure. Je n’ai pas besoin de lui pour pêcher. Je connais le petit lac par cœur. Sur la gauche, Papa a creusé un trou dans la glace. À cet endroit, la forêt protège le lac du soleil et la glace y est toujours épaisse et solide. C’est ici que je pose mon petit tabouret.

10

Je donne quelques coups de pic pour briser la pellicule* de glace au fond du trou. Puis je retire mes mitaines quelques secondes, juste le temps d’accrocher un morceau de gras au bout de ma ligne. Le froid me rend maladroite. Je fais bien attention de ne pas me mouiller les mains. Mes doigts gèleraient vite ! Il ne me reste plus qu’à attendre. * Une pellicule, c’est une couche mince.

11

Résumé : L’hiver est rude. La famille de Laura a besoin de gibier et de poissons pour survivre. Laura va pêcher sur le lac pendant que son père part à la chasse…

12

chapitre 2

Prisonnier du lac Des canards perdus survolent le lac, mais ils sont trop haut pour le fusil de Papa. Tout à coup, un léger bruit me fait sursauter. Je me retourne : il y a une biche, à quelques pas de moi ! Que fait-elle là ? Elle ne bouge pas… 13

Pourtant, j’ai fait du bruit en me retournant. Je ne comprends pas. Pourquoi ne s’enfuit-elle pas ? Elle observe quelque chose. Ses yeux sont fixes. J’essaie de suivre son regard… Soudain, je vois : un peu plus loin sur le lac, dans une flaque de soleil, une petite tête sort d’un trou dans la glace. C’est son faon ! Il a dû s’éloigner de sa mère et la glace s’est brisée. Il maintient sa tête hors de l’eau, mais il ne peut plus sortir son corps!

14

La biche est toute frémissante*. Elle regarde son petit de toutes ses forces, mais elle reste immobile. Elle doit sentir que la glace est trop fragile pour la porter. Dans ma tête, tout se bouscule. Je n’ai pas le droit de m’aventurer sur cette partie du lac. Mais je ne peux pas abandonner ce petit faon qui va se noyer ! * La biche frémit : elle frissonne de peur.

15

Le faon n’est pas si loin du bord, et je sais comment faire… Mon père me l’a souvent expliqué : « Allonge-toi, la glace ne cassera pas. » Combien de fois m’a-t-il répété ce conseil ? Dix fois ? Cent fois ? C’est le moment d’essayer ! Je m’allonge prudemment sur la glace. J’essaie de me faire légère…

16

Je rampe aussi délicatement que possible, j’avance petit à petit. Je ne suis plus qu’à quelques pas du faon quand, soudain, j’entends des craquements. Et si je tombais dans l’eau glacée, moi aussi… Qui viendrait à mon secours ?

17

Résumé :

Laura veut secourir le faon tombé à l’eau. Mais la glace est fragile et elle commence à se briser…

18

chapitre 3

À bout de forces Juste devant moi, le faon se débat dans l’eau glacée. Il s’épuise, je dois faire vite ! Je n’ai plus le temps de réfléchir. Un dernier effort, et j’y suis. 19

J’essaie d’attraper le faon par la peau du cou, comme un petit chiot. Mais il est lourd et il cherche à m’échapper. Il me glisse des mains à plusieurs reprises. Je lui parle : – N’aie pas peur, calme-toi… Je vais te tirer de là ! On dirait qu’il comprend, il se laisse faire.

20

Doucement, je plonge mes mains dans le trou. Le froid me pénètre. J’ai l’impression que mille aiguilles percent ma peau ! Avec mes mitaines qui se gorgent d’eau*, je saisis ses pattes avant et je les pose sur la glace. Puis je passe mes mains sous son ventre et je le soulève. Il me faut toutes mes forces pour le tirer au bord du trou. Je reprends mon souffle.

* Se gorger d’eau, c’est se remplir d’eau, se mouiller complètement.

21

Tout contre moi, le faon tremble. Il essaie de se remettre sur ses pattes. Je l’aide un peu, je le frotte, je l’encourage à voix basse : – Vas-y… Tu y es presque…

Il se met en marche vers sa mère, une patte après l’autre, un pas après l’autre. Il glisse, il hésite, il patine, mais il y arrive ! 22

De retour sur la terre ferme, j’ai encore le cœur qui bat et les jambes molles. Mais je suis tellement heureuse que ça me brûle à l’intérieur. J’ai réussi : le faon est sauvé ! Maintenant que je ne bouge plus, je sens le froid m’engourdir et j’ai du mal à remuer les doigts. Il ne faut pas que je reste là.

23

Résumé : Victoire ! Laura a réussi à sortir le faon de l’eau glacée. Mais elle est mouillée et, peu à peu, le froid l’engourdit…

24

chapitre 4

Piégés Je me secoue et je retourne vers mon tabouret de pêche pour reprendre mes affaires. Dans le bois, la biche lèche son faon. Elle me regarde, la tête penchée, comme pour me dire merci. 25

Brusquement, un coup de feu éclate. Aussitôt, la biche et son faon disparaissent. Un juron* retentit, c’est la voix de Papa. Elle se rapproche. Papa est furieux et bougonne : – J’ai raté cette biche ! Ce n’est pas possible ! Moi, je chuchote un « ouf » que personne ne peut entendre… * Un juron, c’est un gros mot qui exprime la colère.

26

Quelques secondes après, Papa arrive près de moi et s’écrie : – Laura, mais tu es trempée ! Que s’est-il passé ? Tu es tombée ? Je fais un signe de tête pour dire « oui ». Papa ne m’en demande pas plus.

27

En un clin d’œil, Papa retire mes mitaines glacées. Puis il enlève aussi mon manteau et m’enveloppe dans sa veste. Il murmure : – Tu aurais pu geler sur place. Il était temps que j’arrive pour m’occuper de toi ! Je vais te raccompagner à la maison avant de retourner chasser.

28

Sur le chemin du retour, je souris en pensant à mon aventure. Moi aussi, il était temps que je m’occupe du faon. Mais ça, c’est mon secret…

Fin

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Des livres d’Anatole Latuile sur bayardjeunesse.ca/livres

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© Bayard Presse – J’aime lire – Anne Didier – Olivier Muller – Clément Devaux, 2014.

À la découverte Pourquoi ? Comment ?

L’incroyable histoire de la médecine Tu le sais bien, ce n’est pas drôle d’être malade : tu as de la fièvre, tu tousses, ta gorge te fait mal ! Et puis il y a des maladies beaucoup plus graves. C’est pour ça que, depuis la préhistoire, les êtres humains ont appris à se soigner…

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Les hommes et les femmes préhistoriques croyaient que, si quelqu’un tombait malade, c’était parce qu’un mauvais esprit était entré dans son corps. Alors le sorcier faisait de la magie en espérant chasser ce mal. Mais les sorciers connaissaient aussi des plantes qui soulageaient la fièvre, le mal de ventre et bien d’autres maladies…

Il y a 2400 ans, le médecin grec Hippocrate ne croyait pas aux esprits. Il commençait par bien observer les malades pour comprendre d’où venait leur maladie. On dit qu’il a été le père de la médecine.

À la fin du Moyen Âge, il y a environ 500 ans, des savants ont voulu comprendre comment fonctionnait notre corps. Pour savoir ce qu’il y avait dedans, ils ont ouvert le corps des morts, même si c’était interdit.

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Vers 1625, des chercheurs ont découvert comment le cœur, les poumons et les autres organes étaient reliés par des veines et des artères. Ils ont compris que le corps vivait parce que du sang circulait dedans.

Grâce à l’invention du microscope, les scientifiques ont découvert des êtres invisibles à l’œil nu : les microbes. Et ils ont compris que certains provoquaient des maladies...

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Il y a 200 ans, un nouvel objet a permis d’entendre les bruits dans le corps : le stéthoscope. En écoutant le corps, les médecins ont pu comprendre ce qui se passait dedans sans l’ouvrir !

Il y a cent cinquante ans, les médecins ont réussi à endormir les malades avec des produits chimiques : ils ont inventé l’anesthésie. Les chirurgiens pouvaient enfin opérer les gens sans qu’ils aient mal !

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Des chercheurs comme Pasteur ont découvert qu’on pouvait aider notre corps à reconnaître certains microbes pour qu’il puisse se défendre contre eux : c’était le début des vaccins.

Il y a cent ans, des chimistes ont mis au point de nouveaux médicaments, comme l’aspirine ou les antibiotiques. La plupart des médicaments sont toujours faits grâce à des plantes !

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À cette époque, des physiciens ont aussi inventé des machines qui permettent de voir à l’intérieur du corps sans l’ouvrir, et même de faire des photos : on les appelle des « radios ».

Depuis près de cinquante ans, des chirurgiens savent remplacer les cœurs malades par des petites pompes, qu’on appelle des cœurs artificiels. C’est compliqué, mais ça marche !

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Le sais-tu ? Il y a cinq mille ans, les Chinois utilisaient déjà plus de quatre cents médicaments à base de plantes.

Au Moyen Âge, les médecins arabes savaient déjà opérer les yeux pour améliorer la vue de certains malades.

Aujourd’hui, des biologistes vont rencontrer les guérisseurs qui vivent dans la jungle d’Amérique du Sud. Ils leur demandent avec quelles plantes ils soignent leurs malades, pour en faire de nouveaux médicaments.

©Bayard Presse – Youpi – Bertrand Fichou, Éric Gasté, 2007.

À la même époque, en Inde, les médecins soulageaient leurs malades en leur plantant des petites aiguilles dans la peau : c’est l’origine de l’acupuncture chinoise, qu’on utilise encore aujourd’hui.

À la découverte

S

qu’est-ce que c’est ? Des mots pour comprendre le monde

Tom

Thelma Grand-papa

cience

Grand-papa, as-tu vu ? On a mis du sucre dans l’eau et il a disparu !

En tout cas, on ne le voit plus !

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Vous êtes sûrs qu’il a disparu ?

Comment pouvez-vous savoir si le sucre a vraiment disparu ?

Ben… on n’a qu’à goûter l’eau !

Bonne idée ! Vas-y, Tom !

L’eau est sucrée ! Ça veut dire que le sucre est toujours là, même si on ne le voit plus !

En goûtant l’eau, tu as fait une expérience. Elle t’a permis de t’apercevoir que le sucre n’avait pas disparu par magie !

Grâce à la science, on peut fabriquer Et des bombes, des médicaments, aussi ! des machines à laver…

Eh oui ! Et sans le savoir, tu viens de faire de la science ! C’est quoi, la science ?

La science, c’est une façon d’observer le monde, pour mieux le comprendre. Et mieux on comprend le monde, plus on peut rendre notre vie meilleure !

Tu as raison , Thelma. La science, elle peut servir à faire le bonheur du monde ou son malheur. Les humains doivent décider comment ils veulent s’en servir…

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© Bayard Presse - Youpi - Bertrand Fichou - Robin, 2007.

Alors ?

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Retrouve Ariol sur

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© Bayard Presse – J’aime lire – R. Chaurand – E. Guibert – M. Boutavaut, 2014.

À toi de jouer

Envoyer

AOUL Les defis de R

À NE SURTOUT PAS FAIRE !

Envoyer un courriel à un ami et lui téléphoner pour savoir s’il l’a reçu.

Envoyer des farces en utilisant l’adresse courriel de ses parents.

Envoyer à ses amis des infos que tout le monde connaît déjà. 58

Écrire un courriel à ses parents pour savoir à quelle heure est le souper.

Renvoyer son courriel sans arrêt tant qu’on n’a pas reçu de réponse.

Répondre n’importe quoi aux courriels qui sont adressés à ses parents.

un courriel À FAIRE PLUTÔT…

Mettre un titre dans la case « Objet » du courriel. ©Bayard Presse – Astrapi – Rémi Chaurand, Claude et Denise Millet, 2014.

Vérifier l’adresse Internet de la personne à qui on écrit un courriel.

Quand le courriel est prêt, ne pas oublier de cliquer sur « Envoyer ».

Si le courriel n’est pas terminé, cliquer sur « Brouillon » pour le finir plus tard.

Penser à ajouter la pièce jointe quand il y en a une.

Ne pas donner son adresse courriel à n’importe qui et ne pas répondre aux courriels qui viennent d’on ne sait pas qui.

À toi de jouer Bricolo Rigolo

Valentins faits main Offre ta photo à toutes les personnes que tu aimes en bricolant ces cartes et ces cadeaux personnalisés. Succès assuré ! Il te faut :

des photos de toi

du papier construction

un perforateur

un morceau de feutre

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des vieux magazines à découper

des ciseaux

de la colle

un anneau porte-clé

un carton fort

des décorations : ruban, boutons, bouts de tissu…

Les cartes superhéros 1- Plie en deux une feuille de papier construction.

Pour tes amis

2- Découpe des images (personnage, objet…) dans des magazines et colle-les. 3- Colle ta photo.

©Bayard Presse – Astrapi – Virginie Rousset – Paul Martin, 2010.

4- À l’intérieur de ta carte, écris un petit message d’amour ou d’amitié.

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À toi de jouer Bricolo Rigolo

Pour ton papa

Le porte-clés Tomafoto 1- Découpe un rectangle de papier construction de 10 cm sur 5 cm et plie-le en deux.

2- Plie encore en deux la partie du dessus, trace un demi-cœur sur la pliure, découpe-le puis déplie. 3- Colle une photo à l'intérieur puis colle les bords du papier construction.

4- Perce un trou avec la perforeuse et passe l’anneau porte-clé décoré d’un ruban.

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Le cadre photo

©Bayard Presse – Astrapi – Anne Weiss, 2010.

Pour ta maman

1. Plie le feutre en deux et découpe au milieu une fenêtre un petit peu plus petite que ta photo. 2. Décore le feutre. 3. Colle le feutre et le carton ensemble sur trois côtés.

4. Glisse ta photo dans la fenêtre entre le carton et le feutre.

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À toi de jouer À tes crayons

Super jeux d’hiver Relie les points d'une même couleur en suivant l'ordre des numéros.

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Les mots croisés Comment s'appelle cette montagne ? Écris le nom des objets dans la grille en suivant les chiffres.

1 2 3

tuque foulard traîneau lunettes mitaine skis

4 5 6

Reporte les lettres dans les cases colorées ci-dessous. C'est le mont Réponse : Le mont Skitou.

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Le dessin

Dessine le portrait de la souris en suivant les trois étapes. 1

2

3

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Le bon chemin

Aide la souris à rejoindre son ami l’éléphant. Quel chemin doit-elle prendre ?

Réponse : Elle doit prendre le chemin numéro trois.

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Réponse : Le premier sapin blanc à gauche et le troisième sapin blanc en partant de la droite.

Arrivée Trouve les deux sapins identiques sur cette images.

La paire

Réponse : la souris. « Tu as vu comme je vise bien ! » L’éléphant. « Bravo ! À mon tour… »

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du code : Complète les voyelles qui manquent en t'aidant

Le message codé

Les empreintes Avec ton crayon, relie chaque animal à l'empreinte qui lui correspond. Puis écris son numéro sous l'empreinte.

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Réponse : 1, 6, 4, 2, 5, 3.

A

C

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D’autres jeux sur

©Bayard Presse – Mes premiers J’aime lire – Arnaud Alméras – Robin – Pascal Lemaître – François Batet, 2004.

Les cases mélangées

Remets les images dans l'ordre. B

.

Réponse : d, b, a, c.

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N o 354 • août 2013

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Pause BD

– Toto, c’est comme ça, nous sommes sur Terre pour travailler… – Pff… quand je serai grand, je serai aviateur !

Ben… oui.

La poubelle a été malheureusement enlevée tôt, ce matin… et tu ne peux donc pas retrouver ta rédaction, car elle est sûrement en train de brûler dans un dépotoir… On est d’accord ? Ben… oui.

Et tu t’attends réellement à ce que j’avale toutes ces idioties !?!

Non, bien sûr ! Mais vous ne vous attendiez pas réellement à ce que je fasse mon devoir ?

J'AIME LIRE Québec : Rédactrice en chef : Paule Brière. Graphiste : Patricia Rioux. Éditrice : Nancy Lauzon. Responsable de la production : Monique Dubé. Réviseure : Fleur Neesham. Impression : Imprimeries Transcontinental inc. Pour toute information concernant votre abonnement : 514 227-0061 ou 1 866 600-0061, bayardjeunesse.ca Bayard Canada : Présidente : Suzanne Spino. J’aime lire est publié sous licence de Bayard S.A.

© Bayard Presse – J’aime lire – F. Girard – S. Bloch – R. Chaurand, 2009.

Donc, Toto , ton devoir s’est envolé de ton bureau, le vent l’a projeté par la fenêtre de ta chambre, et il est tombé dans une poubelle… C’est bien ça ?

Pause BD

Scénario et illustrations : Rémy Simard.

Simone, joli monstre! Simone, joli monstre!

Envoies tes blagues à : [email protected] Envoi de publication Convention No 40063645. 4475, rue Frontenac, Montréal (Québec) H2H 2S2. ISSN : 0835-7714. Année 2015. 8,95 $. Imprimé au Canada

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