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yves Marcoux annonce ses couleurs : « certaines personnes subissent les éléments; la photo m'incite à les vivre. » et c'est de tout corps qu'il nous plonge avec lui à travers les éléments. La terre, l'air, l'eau et le feu sont vécus en images et en textes pour former une véritable chanson d'amour pour le Québec sous toutes ...
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TRIBUNE LETTRES . INFOS . À L’OEIL . LIVRES

[lettres] ÊTES-VOUS FIDÈLE À UNE MARQUE EN PARTICULIER? Tout jeune, je fus initié à la photographie par mon père qui ne possédait que des appareils pentax. J’en ai passé des samedis d’hiver dans la chambre noire du sous-sol à faire passer des feuilles blanches d’un bassin d’acide à un autre! Lorsqu’est venu le temps de me procurer moi-même mes boîtiers, il allait de soi que ce serait du pentax; marque que je possède et utilise quotidiennement. — Stéphan Morin via le blogue

PHOTOGRAPHIER DANS UN AUDITORIUM Je suis enseignant dans une école secondaire et, à l’occasion, nous avons à prendre des photos et des vidéos lors de spectacles dans notre auditorium. nous utilisons des reflex (canon 60D et rebel XT). comme bien des salles, notre auditorium est sous-éclairé. existe-t-il une façon de mesurer l’intensité lumineuse puis de l’augmenter afin d’obtenir de bons résultats? — rené-claude grenon via courriel En fait, le problème n’a pas grand-chose à voir avec la mesure de la lumière. Le problème vient du fait que vos objectifs ne sont, de toute évidence, pas assez lumineux. Un Canon EOS 60D vient souvent équipé d’un objectif 18-200 mm, qui ouvre à un maximum de f/5,6. Idem pour le Canon Rebel XT, qui vient d’office avec un objectif 18-55 mm, lui aussi ouvert à f/5,6. Il en va de même pour les objectifs à focales variables

supplémentaires tels l’EF 55-250 mm qui ne dépasse pas, lui non plus, l’ouverture de f/5,6. C’est une perte de lumière majeure. Pour vous donner toutes les chances de réussir, il vous faudra investir dans une optique plus lumineuse. Généralement, on couvre ce genre de situations à l’aide d’un objectif EF 70-200 mm f/2,8 (version stabilisée ou non, dépendant du budget alloué). Ce zoom n’est pas donné, mais c’est probablement le seul qui soit capable de résoudre votre problème de lumière. On peut réduire le coût en investissant sur un objectif à focale fixe, mais c’est beaucoup moins convivial. N’empêche, un objectif EF 85 mm f/1,8 pourrait faire l’affaire, mais il faudra que le photographe soit très mobile. La photographie en salle n’a rien d’évident. C’est une situation qui requiert de bonnes optiques (très lumineuses) et beaucoup d’expérience de la part du photographe. Bonne chance dans la suite des choses! — Jean-François Landry

VIDÉO SUR LA CRÉATIVITÉ Je viens d’écouter la vidéo de John cleese sur la créativité dont vous parlez dans l’éditorial du dernier numéro de votre magazine. J’ai beaucoup apprécié qu’il nous rappelle de nous réserver un espace pour la créativité, de nous tailler du temps pour songer au projet créatif, de l’exécuter et d’y songer davantage afin d’aller plus loin, de nous faire confiance et de pratiquer l’humour tout en créant. c’est super! Merci. — Louise Dandeneau via Facebook

J’AIME PHOTO SOLUTION WWW.FACEBOOK.COM/PHOTOSOLUTION

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TRIBUNE [infos]

Vacancesphoto L’Île Verte – la magnifique Du 19 au 25 août 2013

Les couleurs de Charlevoix Du 23 au 29 septembre 2013 avec le photographe et animateur François Gagnon

© Lynne coHen

présentée au Musée d’art contemporain de Montréal jusqu’au 28 avril, cette exposition regroupe 40 photographies de Lynne cohen, dont la plus grande partie appartient à sa production récente. Depuis le début des années 1970, l’artiste photographie, à l’aide d’un appareil photo argentique à chambre, des espaces intérieurs vides de leurs occupants. au fil du temps, des endroits semi-publics ou publics — tels des patinoires, salles de danse, halls d’hôtels ou clubs privés pour hommes — ont cédé le pas à des environnements plus complexes et difficiles d’accès, comme des salles de classe, des laboratoires scientifiques ou des installations militaires. Quelle que soit la nature parfois inquiétante des lieux photographiés, l’artiste souligne les effets d’humour, d’artifice et de faux-semblant qui y apparaissent. Lynne cohen est née aux États-unis; elle vit et travaille à Montréal. macm.org

Le Musée populaire de la photographie, à Drummondville, expose actuellement, dans son espace Blanc, une série de huit photographies signées du célèbre Studio Harcourt de paris. ces images ont été éditées sous forme de cartes postales imprimées sur du papier photographique au bromure, vraisemblablement au cours des années 1950. Les éditeurs, identifiés au verso des photographies, sont Les Éditions du globe et les Éditions o.p., de paris. Le célèbre studio parisien, fondé en 1934, a vu défiler devant ses objectifs de nombreuses personnalités européennes du monde du divertissement. Le Musée expose des portraits signés Harcourt de Françoise arnoul, cécile aubry, Brigitte Bardot, Juliette greco, Louis Jourdan, gérard philipe et Tino rossi. museedelaphoto.ca

© STuDio HarcourT pariS

CARTES POSTALES DU CÉLÈBRE STUDIO HARCOURT

LYNNE COHEN. FAUX INDICES

HAÏTI. CHAOS ET QUOTIDIEN Jusqu’au 12 mai prochain, le Musée Mccord, à Montréal présente l’exposition Haïti. Chaos et quotidien du photographe Benoit aquin. en quarante photographies couleur et grand format, aquin propose une vision actuelle du pays et pose un regard honnête sur la vie quotidienne des Haïtiens dans les conditions chaotiques causées par le séisme de janvier 2010. ces photographies, prises par l’artiste au cours de voyages successifs, couvrent une période de trois ans depuis le tremblement de terre, dont le bilan s’élève à 220 000 morts, 300 000 blessés et un million de déplacés. musee-mccord.qc.ca

Des ateliers photo à la fois ludiques et zen ! Séjours reposants et inspirants qui faciliteront l’émergence de votre créativité.

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© BenoiT aQuin

francoisgagnonphotographe.com 450 446-6455

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WORLD PRESS PHOTO 2012

© pauL HanSen, SuèDe, DagenS nyHeTer

© pauL nicKLen, canaDa, naTionaL geograpHic

Les images gagnantes du prestigieux concours World press photo ont récemment été annoncées. Le jury a récompensé le photographe suédois paul Hansen en lui décernant le prix de la photo de l’année 2012. L’image primée montre un groupe d’hommes transportant le corps de deux enfants tués par un raid de missiles israéliens à travers les rues de gaza pour les porter à la mosquée. en tout, les œuvres de 54 photographes ont été sélectionnées; parmi elles on retrouve celle du photographe canadien paul nicklen.

1er prix catégorie reportage nature Manchots empereurs en mer de ross

World Press Photo de l’année 2012 Funérailles à Gaza, territoires palestiniens, 20 novembre 2012

APRÈS STRAND www.museedelaphoto.ca

La galerie Stephen Bulger de Toronto présente, du 6 avril au 4 mai, Après Strand, une exposition du photographe Bertrand carrière. cette série d’images revisite une partie de l’histoire de la photographie en jetant un regard sur l’œuvre de paul Strand et son intérêt pour le territoire québécois. Lors d’un voyage en gaspésie durant l’été 2010, carrière a suivi les traces de Strand, qui avait parcouru la région en 1929 et 1936. La plupart des images de Strand issues de ces deux voyages sont demeurées dans l’ombre. elles marquaient pourtant un tournant dans sa carrière en amenant une nouvelle vision du paysage. carrière s’inspire de l’œuvre et de l’approche de Strand, en s’intéressant aux histoires de ceux qui peuplent le territoire de la gaspésie. bulgergallery.com

© BerTranD carrière

LE MUSÉE POPULAIRE DE LA PHOTOGRAPHIE

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LE SEUL MUSÉE DU QUÉBEC À SE CONSACRER EXCLUSIVEMENT À LA PHOTOGRAPHIE EXPOSITIONS TEMPORAIRES ET PERMANENTE L'HISTOIRE DE LA PHOTO DEPUIS 1827 BOUTIQUE-CADEAUX CENTRE DE DOCUMENTATION

MERCREDI AU DIMANCHE DE 13H À 17H 217, RUE BROCK, QUARTIER HISTORIQUE DU CENTRE-VILLE DE DRUMMONDVILLE (819) 474-5782

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TRIBUNE [infos] EXPOSITIONS ET ÉVÉNEMENTS

À ! voir JUSQU’AU 1ER JUIN VIENS VOIR LES COMÉDIENS! ANDRÉ LE COZ Galerie d’art du Centre culturel de l’Université de Sherbrooke centrecultureludes.ca

JUSQU’AU 14 AVRIL DON MCCULLIN RÉTROSPECTIVE Musée des beaux-arts du Canada, Ottawa beaux-arts.ca JUSQU’AU 28 AVRIL LYNNE COHEN FAUX INDICES Musée d’art contemporain de Montréal macm.org

6 AVRIL AU 4 MAI APRÈS STRAND, BERTRAND CARRIÈRE Stephen Bulger Gallery, Toronto bulgergallery.com 11 MAI AU 2 JUIN TCHERNOLAND, GUILLAUME D. CYR Hall du futur Théâtre Le Diamant, Québec theatrelediamant.com

JUSQU’À L’ÉTÉ 2013 CARTES POSTALES DU STUDIO HARCOURT Musée populaire de la photographie, Drummondville museedelaphoto.ca

JUSQU’AU 12 MAI DESTINS TORDUS, GUY GLORIEUX Musée populaire de la photographie, Drummondville museedelaphoto.ca

MOIS DE MAI FESTIVAL CONTACT Toronto, lieux divers scotiabankcontactphoto.com

JUSQU’À L’AUTOMNE 2013 LA CITÉ, LORI NIX Boulevard Monk, Montréal mouvementartpublic.com

JUSQU’AU 12 MAI HAÏTI. CHAOS ET QUOTIDIEN, BENOÎT AQUIN Musée McCord, Montréal musee-mccord.qc.ca

PHOTOREPORTAGE

© guiLLauMe D. cyr

Tchernoland, par guillaume D. cyr guillaume D. cyr est un photographe originaire de new richmond en gaspésie et maintenant résident de Québec. Son projet Tchernoland a été réalisé en mai 2012 à Tchernobyl, dans la zone d’exclusion nucléaire établie autour de la centrale suite à la catastrophe de 1986. Dans son texte d’introduction, David Desjardins décrit Tchernoland comme une série d’images qui « disent le vide, la rencontre de touristes avec un décor sans intérêt, l’exploitation éhontée d’un endroit qui n’a rien à déclarer, sinon l’histoire de gens sacrifiés par négligence ». Les images tirées de ce photoreportage seront exposées en mai prochain dans le hall du futur Théâtre Le Diamant, à Québec. pour voir le photoreportage de ce numéro, visitez photosolution.ca

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TRIBUNE [à l’œil] LES LABOURS DE MARC MONTPLAISIR par Jean-François Nadeau Dans les pages glacées du magazine Elle Québec, le photographe Marc Montplaisir propose, pratiquement chaque mois, un portrait d’une figure publique réalisé sur plaque de verre. D’ordinaire photographe pour des publicitaires, notamment à titre de portraitiste, Montplaisir produit en diable depuis des années. Ses photos, on les trouve aussi bien sur des pochettes de disque qu’en couverture de rapports d’entreprise, sans parler des affiches de spectacles. Mais voilà : il en a eu assez du numérique et des baguettes magiques de Photoshop. Assez, dit-il! « J’avais besoin de retrouver le côté artisanal de la photographie, en marge du règne triomphant de Photoshop. Là, je fabrique tout à la main  : mes acides, mes chimies, tout. J’ai les mains dedans. Je me salis. Et j’arrive à quelque chose d’unique. » Chacun de ses portraits est réalisé patiemment, avec un soin infini. Il a photographié l’écologiste David Suzuki, le chanteur M, l’homme de théâtre Jean-Claude Germain, l’humoriste LouisJosé Houde, le ministre Maka Kotto et bien d’autres encore. Tous sont restés patiemment installés devant ses chambres photographiques de bois sombres, la tête fixée dans une minerve afin d’aider à conserver la pose.

d’époque et des lentilles anciennes, mais tout est fait dans un dessein actuel. » Il faut plus d’une heure pour réaliser une ou deux images. C’est encore assez rapide. Et puis, le temps est une chose bien relative. Au XIXe siècle, saisir une image demandait une bonne heure à un photographe qui ne traînait pas. Les plus rapides, comme le célèbre Eadweard Muybridge, avaient la prétention de l’instantanéité lorsque le temps total des opérations était réalisé sous la barre des quinze minutes! Longtemps, très longtemps, l’appareil photo ne fut pas une chose que l’on transportait facilement à bout de bras, selon son bon vouloir et tout en sifflant. Il fallait y mettre du nerf, du temps et de la volonté. Le travail de Marc Montplaisir nous le rappelle à sa façon. Comme il nous rappelle que les premiers temps de la photographie, ces vastes champs de labours, peuvent encore donner de belles fleurs.

La grande nouvelle  : son studio du Vieux-Montréal s’ouvre désormais au public. «  On m’a souvent demandé pour être photographié. Je n’avais pas le temps ni les installations pour produire des ferrotypes pour n’importe qui. Là, avec L’Autre Studio, je me suis organisé pour que ce soit possible. »

« J’avais besoin de retrouver le côté artisanal de la photographie, en marge du règne triomphant de photoshop. »

Lui qui roule dans une magnifique voiture ancienne, une Citroën DS, se défend d’être un collectionneur. « En tout cas, je ne suis pas un collectionneur de vieux appareils photographiques! Les bébelles ne m’ont jamais intéressé. Je ne cherche pas à reproduire des photos anciennes. Le portrait que je réalise sert un regard moderne, à partir de l’utilisation d’un procédé ancien. Pour mon travail, j’utilise des reproductions d’appareils

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© Marc MonTpLaiSir

N’importe qui peut donc débarquer à l’Autre Studio est se trouver baigné des odeurs d’éther, d’alcool pur et d’acide acétique qu’utilise Marc Montplaisir pour ce procédé complexe. « J’avais vu un photographe de San Francisco faire ça et je me suis dit que l’expérience méritait d’être tentée ici. »

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TRIBUNE [livres]

OBJECTIF NORD photographies par Mathieu Dupuis, Heiko Wittenborn et Mario Faubert, textes par Serge Bouchard et Jean Désy Éditions Sylvain Harvey, 200 pages Le nord a la cote ces temps-ci. on le regarde sous toutes ses coutures. on tente d’évaluer ce qui peut être exploité dans ce territoire dont la superficie est comparable à celle de l’afrique du Sud. on repense à notre histoire, aux torts faits aux autochtones, et à ce qui peut être reconstruit, humainement parlant, dans un futur pas si lointain. Le nord du Québec, c’est la face cachée de l’iceberg et Objectif nord dirige notre regard vers ce mal connu pourtant si familier. issue d’une initiative de Télé-Québec en partenariat avec le groupe pVp, cet ouvrage fait partie d’un effort multiplateforme qui comprend une série documentaire en quatre épisodes et un site web interactif mettant en vedette Boucar Diouf. Le livre propose des textes de l’anthropologue Serge Bouchard et de l’écrivain et penseur Jean Désy. Deux auteurs amoureux du nord, dont les propos nous rallient à ce monde que nous portons collectivement un peu comme un espace mythique. ils introduisent également les œuvres, lettres, poèmes d’autres artistes qui nous parlent de leur nord, sans jamais tomber dans le cliché. Les superbes images des trois photographes participent à cet opus en ajoutant leur voix (on aurait toutefois apprécié qu’elles soient signées individuellement) à cette ode à la nordicité.

LA PHOTOGRAPHIE AU 20E SIÈCLE Museum Ludwig, Cologne, Taschen, 760 pages cette bible de la photographie moderne nous fait découvrir l’immense collection du Museum Ludwig de cologne, en allemagne. c’est l’une des collections contemporaines les plus importantes à l’échelle mondiale. elle couvre l’art conceptuel, l’abstraction et la documentation à travers plus de 860 œuvres d’environ 300 des plus célèbres photographes du 20e siècle. ces derniers sont classés alphabétiquement, d’ansel adams à piet Zwart, on peut donc consulter ce livre comme un dictionnaire ou le feuilleter dans le désordre pour le plaisir de la découverte. un superbe volume fort instructif à ajouter à sa bibliothèque.

UN QUÉBEC, QUATRE ÉLÉMENTS photographies par Yves Marcoux, textes par Aline Apostolska et Pierre Samson Les éditions de l’Homme, 224 pages Dans la préface de ce livre, le photographe yves Marcoux annonce ses couleurs : « certaines personnes subissent les éléments; la photo m’incite à les vivre. » et c’est de tout corps qu’il nous plonge avec lui à travers les éléments. La terre, l’air, l’eau et le feu sont vécus en images et en textes pour former une véritable chanson d’amour pour le Québec sous toutes ses facettes.

[aussi en librairie] ABITIBI-TÉMISCAMINGUE : SUR LA ROUTE AVEC MATHIEU DUPUIS, PHOTOGRAPHE Mathieu Dupuis, Les Éditions de l’Homme, 224 pages LE GRAND LIVRE DE LA PHOTO DE NU Olivier Louis, Éditions ESI, 288 pages L’ART COMME PHOTOGRAPHIE Walter Benjamin, Éditions Allia, 160 pages

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TRIBUNE [babillard des clubs] Organisateurs et membres des clubs photo, cette section vous est dédiée. Annoncez vos événements, expositions, ateliers, conférences et autres informations en envoyant textes et photos à [email protected]; premier arrivé, premier servi!

exposition annuelle du Club de photo Dimension Le Club de photo Dimension présente son exposition annuelle au Domaine de Maizerets, le samedi 27 avril 2013, de 10 h à 20 h, et le dimanche 28 avril, de 10 h à 17 h. Le domaine est situé au 2000, boulevard Montmorency, à Québec. Le club photo célèbre cette année son 30e anniversaire d’existence. Il avait tenu sa première exposition en 1984, sous le thème Dimension 84. Cette année, l’exposition réunit environ 75 photographes et comporte près de 180 photographies. Bienvenue à tous! clubdimension.org

exposition annuelle club photo JAK Le Club photo JAK de Jonquière invite le public à venir visiter son 67e Salon de la photographie qui se tiendra du 10 au 19 mai 2013, à la Place Nikitoutagan, située au 2230, rue de la Rivière-

aux-Sables, à Jonquière. Plus de 200 photographies sur des thèmes divers y seront exposées. Fêtant sa 70e année d’existence, le Club photo JAK compte 105 membres passionnés. En plus des rencontres et ateliers hebdomadaires, plusieurs excursions sont organisées au cours de la saison. Ces circuits offrent une occasion de mettre en pratique les notions et les techniques acquises lors des ateliers. Visitez notre nouveau site pour y voir les réalisations de nos membres : clubphotojak.com. Pour nous rejoindre : [email protected]. Soyez les bienvenus à notre 67e exposition annuelle!

exposition annuelle de l’ALpA Les membres de l’ALPA, avec beaucoup de fierté, vous convient à leur exposition annuelle qui se tiendra du 25 au 28 avril 2013, à la Place Longueuil, située au 825 St-Laurent Ouest, à Longueuil. Les thèmes présentés seront Scènes d’eau, Humain au travail, Nature et Libre. Nos activités et nos conférenciers de cette année ont permis à nos 130 membres d’enrichir leurs connaissances. Cela se perçoit dans leurs photos où la recherche artistique et la créativité sont à l’honneur une fois de plus. Bienvenue à Longueuil. alpaphoto.ca

Conférences, ateliers, classes de maîtres avec Caroline Hayeur, Jean-François Leblanc, Linda Rutenberg...

15 juin - 31 juillet 2013

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www.rvpr.ca

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