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enseignement
kung fu wing chun
Stéphane Serror débute son apprentissage des arts martiaux à l’âge de seize ans sous l’instruction de sifu Didier Beddar, disciple direct dans la lignée du grand maître Yip Man. Titulaire d’une formation traditionnelle de plus de quinze ans dans le style Wing Chun, et détenteur d’un Brevet professionnel, il crée en 2004 l’académie Yim Wing Chun afin de permettre l’enseignement et la formation à plein temps de ce style de Kung Fu à Toulouse.
Le Wing Chun, l’un des styles de Kung Fu (prononcé Gong Fu) les plus abouti du sud de la Chine, comme tous les autres domaines du savoir, à une histoire. Celle-ci reflète à la fois les bouleversements dans les représentations conceptuelles de l’art du combat et les progrès de l’instrumentation et des techniques, ainsi que l’évolution des théories physiques, anatomiques et physiologiques. Trop souvent de nombreux styles laissent une large part à l’improvisation lors du contact avec un adversaire. Le Wing Chun, qui signifie littéralement « espoir pour le futur », mais aussi « printemps radieux », représente dans l’histoire du Kung Fu l’une des premières méthodes à étudier d’un point de vue scientifique les limites biomécaniques du corps humain dans la distance des percussions. C’est une fusion des meilleures connaissances martiales de l’époque. Il s’appuie sur les principes géométriques de la prise du centre, identiques à ceux étudiés dans l’art de l’escrime française. Il n’y a aucune place dans cet art pour le hasard ou les choses abstraites. Développé au XVIIe siècle par deux femmes, le Wing Chun, dans l’esprit martial s’inspire plutôt de la non force. Il utilise la déviation de la force exercée par l’adversaire, ou bien l’interception couplée à une attaque simultanée, plutôt qu’un système classique de blocage – esquive, suivie d’une contre attaque. Toute attaque et tout contre sont basés sur des principes et des lois scientifiques qui leur concèdent une logique et une objectivité implacable.
Travail sur la coordination du corps, Chi Na (contrôle et luxation), développement des réflexes (action/réaction), Taos (formes) composant le style, énergie interne/externe, applications de toutes les combinaisons possibles en combat. Mookjong (mannequin de bois), Chi Sao (mains collantes), Bart Jarn Dao (couteaux papillons) et Dragon Pôle (bâton long).
horaires / tarifs adultes
débutants et intermédiaires
N e p a s j ete r s u r l a vo i e p u b l i q u e – c e p a p i e r p e u t êtr e r e cyc l é – m e r c i .
cours classique lundi
20h00 – 21h30
mardi
12h30 – 13h30
mercredi
20h00 – 21h30
jeudi
12h30 – 13h30
vendredi
20h00 – 21h30
enfants
cours à thème chi sao 19h00 – 20h00 mookjong 19h00 – 20h00 armes 19h00 – 20h00
enfants 6-11 ans
ados 12-17 ans
mercredi
14H00 – 15H15
15H30 – 17H00
samedi
14H00 – 15H15
14H00 – 15H30
poussins
kung fu
association yim wing chun école d’arts martiaux chinois traditionnels
wing chun e n f a n t s
a d u l t e s
m o n i t o r a t
4–5 ans
mercredi
180 € pour l’année
10h00 – 11h00
acrobatie
initiation et perfectionnement
samedi : 15H30 – 17H30
supplément de 85 € pour l’année
INSCRIPTION NON REMBOURSABLE
ADULTES
ENFANTS
LICENCE ET INSCRIPTION
30 €
TRIMESTRE
225 €
130 €
COURS PONCTUEL
10 €
SEMESTRE
350 €
190 €
10 COURS
90 €
ANNÉE
460 €
250 €
Accumule puis distribue. Sois la partie du miroir de l’univers la plus utile, la plus dense et la moins apparente rené char
144, rue de la providence 31500 Toulouse http://yimwingchun.free.fr 05 61 53 38 89
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les principes Nos programmes d’auto-défense sont développés pour agir avec la suppression d’une action violente, non pour l’encourager. Donc auto-défense ne veut pas dire que vous ayez à vous battre. Deux principes de base de la self defense ou auto-défense – les techniques doivent être simples – il faut apprendre à avoir la bonne attitude, la bonne conduite afin d’éviter le danger. Aujourd’hui plutôt que de vouloir “vendre l’efficacité” de telle ou telle méthode de combat, il faudrait surtout parler d’efficacité à éviter le combat de rue… Trop de paramètres aléatoires sont en jeu comme les armes à feu par exemple. Si l’art martial, par le contrôle de soi, tend à déjouer les rouages de l’affrontement, alors tout va bien. Si par contre, l’affrontement est inévitable, alors il faut qu’il soit efficace à gagner en vivacité, être plus rapide, plus précis, plus sûr. Une célèbre maxime dans les arts martiaux dit “un poing, une vie”. Trop souvent les gens le comprennent comme un coup donné, une vie prise. Peut-être faudrait-il comprendre : une vie consacrée à savoir se préparer à donner et maîtriser un coup de poing… Il est important de comprendre que l’art martial forge l’esprit. En effet, la meilleure technique face à quelqu’un de réellement déterminé n’est rien. L’efficacité c’est aussi d’avoir le meilleur mental. Rappelons toutefois qu’un adepte du Tao cherche avant tout la vérité en lui-même. Ainsi il commence par acquérir compétence et éthique, puis les perfectionne jusqu’à les incarner si pleinement qu’elles deviennent inconscientes. Réagir à une situation en se demandant ce qui est juste ou faux est déjà trop lent. On doit faire intuitivement ce qui est correct. Le but des arts martiaux est de grandir heureux, vivre avec une ligne de conduite. Le désarmement extérieur passe par le désarmement intérieur. Le vrai garant de la paix est en soi. dalaï lama
premier art martial reconnu pour avoir été conceptualisé par deux femmes (Ng Mui et Yim Wing Chun)
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le wing chun
l’art de l’interception – la prise du centre La spécialité du style Wing Chun consiste en une série de techniques de percussions et de déviations permettant de pénétrer instantanément le système de défense de l'adversaire au moment du contact. Le Wing Chun étudie le placement des avant-bras de manière à occuper le centre et obliger l’adversaire à passer à la périphérie avec des attaques circulaires. Le pratiquant de Wing Chun, comparable à un bon escrimeur, positionne ses bras sur la ligne centrale et attend l’ouverture pour s’infiltrer en ligne droite.
le mook jong
l’art du déplacement L’entraînement au mannequin de bois, fait partie intégrante des styles du sud de la Chine. La forme des 108 techniques et ses variantes apprend au pratiquant à se positionner afin d'éviter une confrontation directe avec la force de son adversaire.
le chi sao
les mains collantes C’est une façon de concentrer tous les principes et toutes les techniques du wing chun en prenant contact avec les avant-bras de son partenaire. La sensation dans les avant bras permet une réaction plus spontanée, plus rapide que le réflexe occulaire.
les armes
bâton long / couteaux papillons Les systèmes d'attaque et de défense emploient le principe de coordination entre les deux bras associés à un puissant système de déplacements. Le poids des armes agi directement sur la maîtrise et la précision technique et il n'est pas rare qu'à la suite d'une pratique régulière les techniques d'applications à mains nues et la tonicité générale du corps s'en trouvent améliorées.
formation au brevet professionnel Stéphane Serror assure aussi une formation professionnelle, reconnue par le Ministère de la jeunesse et des sports qui conduit au monitorat (ceinture noire), ainsi que la formation d’instructeurs qui s’étage sur 10 niveaux et compte 5 années d’études minimum (ceinture or).
voici le niveau demandé aux instructeurs Niveau 10 Instructeur Théorie 1 : Théories de toutes les formes du Wing Chun. 2 : Thèse sur les Chi Sao (mains collantes). 3 : Thèse des déplacements et coups de pied. 4 : Thèse des cinq étapes de combat. 5 : Philosophie du Wing Chun. Pratique 1 : 108 techniques au mannequin de bois. 2 : Trente six techniques avancées de combat. 3 : Sparring (combat libre), temps déterminé par le Sifu (Maître). 4 : Chi Sao libre. 5 : Test d’endurance au sac. Cent coups de pied de chaque jambe (puissance) coups de pied déterminés. 6 : Connaissances générales. 7 : Techniques de défense au sol. 8 : Forme des couteaux papillons et applications ou forme Dragon pôle (bâton long) et applications.
